La question des dépenses militaires devient de plus en plus centrale dans le débat politique canadien, avec des enjeux de souveraineté, de sécurité économique et de positionnement international.
Le Canada fait face à un dilemme : répondre aux attentes de l’OTAN et faire passer son budget de défense à 5% du PIB à l’horizon 2035, pour répondre aux exigences américaines et et aux nouvelles réalités géopolitiques, tout en maîtrisant ses finances publiques.
Alors que certains craignent un grave accroissement de la dette publique, d’autre commentateurs économiques voient dans cette augmentation des dépenses d’armement une opportunité de croissance non négligeable pour les années à venir.
Une analyse de Prime Nyamoya au micro de Guillaume Lorin.
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