Analyse de l’affaire Andrew Potter avec le professeur Cornett

Notre modernité nous a offert des moyens de communication comme on n’en avait jamais connu jusqu’ici. Ceux-ci élargissent le spectre de l’information à un point tel qu’une information, aussi insignifiante soit-elle, peut assez rapidement se retrouver sur le devant de la scène et susciter des réactions passionnées et contradictoires. Cette globalisation de l’information, si elle est a saluée, pose assez souvent et avec une acquitté jusqu’ici inusité, la question de la liberté d’expression et de ses limites.

Un professeur de l’Université Mc Gill, monsieur Andrew Potter, en a récemment fait l’amère expérience après s’être fendu d’un article qui dénonçait pêle-mêle “le malaise social au Québec et l’évident manque de solidarité qu’illustrait le gros incident routier qui avait eu lieu à l’occasion de la dernière tempête hivernale sur l’autoroute A13”.

C’est de cette sortie médiatique qui a défrayé la chronique et posée une nouvelles fois la question de la liberté d’expression que nous allons parler avec le professeur Cornett.